Paysages – Bretagne

« II faut que je vous dise que votre lavis m’emballe tout à fait singulièrement. Je vous ai sans doute mal exprimé l’admiration que j’éprouve pour un art aussi évocateur, synthétique et sensible que le vôtre. Plusieurs de vos peintures sont devant mes yeux, j’y trouve un tel talent, un tel don inné joint à une telle connaissance de la technique que je n’hésite pas à vous dire : « Vous êtes une grande artiste. »

Fred Bérence, Historien d’Art et romancier de l’Académie des Beaux-Arts

PARIS 1968

 

« II faut que je vous dise que votre lavis m’emballe tout à fait singulièrement. Je vous ai sans doute mal exprimé l’admiration que j’éprouve pour un art aussi évocateur, synthétique et sensible que le vôtre. Plusieurs de vos peintures sont devant mes yeux, j’y trouve un tel talent, un tel don inné joint à une telle connaissance de la technique que je n’hésite pas à vous dire : « Vous êtes une grande artiste. »

Fred Bérence, Historien d’Art et romancier de l’Académie des Beaux-Arts

PARIS 1968

«… Cette transposition cristallisée, sublimée du sujet par la personnalité du peintre ne retient que les taches colorées et leur orchestration le fait surgir sur un fond satiné et ce sont des bouquets qui semblent chanter le bonheur, des natures mortes où les objets sont prétextes à des recherches picturales en même temps qu’ils acquièrent un certain mystère, nu de jeune fille gracile, quoique vigoureusement modelé.

Cette tendance à l’abstraction est encore plus marquée dans certains paysages et marines comme les évocations du Pouliguen ou, par, la décantation du souvenir, l’auteur exalte la grande poésie de ces symphonies de bleus des flots s’assombrissant à l’horizon et du ciel modulant de l’aigue marine au saphir. Aussi heureuse dans le paysage, l’artiste l’est également dans le portrait. D’une écriture large, se référant à la réalité, mais la dominant, elle suggère, affirme le modelé des visages, accuse le caractère de chacun, définit la personnalité, la psychologie de ceux qu’elle évoque. »

Renée Carvalho, Critique d’Art – LA REVUE D’ART MODERNE

«… Elle ne se contente pas de copier seulement la nature. Ses peintures sont un acte de volonté et de réflexion. Nous percevons un au-delà, un mystère qui vibre de lumière, une force de l’infini. Devant ses paysages, ses portraits, ses dessins, on voit renaître l’élan de la vie, de la matière… Cette artiste est tout à fait maîtresse de son métier et sait surmonter le réel après l’avoir possédé, elle le hisse au niveau de la poésie grâce à sa sensibilité. Elle est ennemie de la facilité. C’est pourquoi ses œuvres sont de qualité. C’est également une très bonne coloriste. »

LE NOUVEAU JOURNAL – Avril 1978

Britt Le Bret obtient la Médaille d’Or du XXIIe Prix de NEW YORK

avec la GALERIE DUNCAN de PARIS